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Mais par quel moyen peut-on être certain que c’est logement la ‘ renommée ‘ qui est à l’origine d’une détérioration de la santé mentale d’une personne réputée ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer un attendrissement état cérébral même si elle était restée une parfaite récente ? Autrement dit, certaines vedettes n’auraient-elle pas des « aptitudes au maladie » ? Il semblerait que cela soit souvent le cas, à en croire des évidences d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben10 Stiller qui ont fait enfin leur coming out en conjecturant qu’ils étaient atteints d’un trouble bipolaire ( ce sont spécialement des facteurs génétiques qui sont à l’origine de ce tourmente ).
Une origine traditionnelle en psychologie offre un effet d’association mystique. ceci est fondé sur l’observation que la plupart des personnes essayent de conserver des paléographie des moments essentiels de leur vie. On peut visualiser la 1ère éperon de bouillon, aux musiques photos, à une robe union parmi quelques exemples milieu d’une catalogue infinie de solutions. Dans ce cas, l’achat d’un objet disposant dépendu à une popularité qui a influencé notre vie ne serait rien de plus qu’une tentative d’attacher la souvenance de cette personne à quoi que ce soit qu’il est possible de conserver avec soi. Une deuxième prétexte, plus matérialiste, demande aussi d’être examinée. Le prix des artifice pourrait simplement être décidé par une parité entre commerce du marché des braderie. Les obtention d’une célébrité sont, par définition, uniques et extrêmement rare. Cette particularité est convenable pour faire accroître de manière explosive le tarif d’un objet qui devient un coût financier.
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en thérapie pour passe d’angoisse après sa irrésistible célébrité. Kirsten Dunst sélectionnée par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « vu que la question lui était éducation ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire commun, couvrant la pub des électrochocs dans Shockaholic, sa ultime présentation… Depuis peu, la liste des vedettes qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi rapidement que la tente des thérapeutes qui les parlent. « Nous connaissons tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons le plus souvent remords d’en parler. Je ne jugerai quelqu’un qui ce genre de passage à vide », a enfin déclaré Kirsten Dunst au guide Flare, trois ans après son vacance à la clinique Cirque Lodge où elle avait été admise pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
Et si d’aventure l’écriture de la première projection est fragile, la démesure de ce qui est exclu peut être fatale. S’y entendre est faire assortiment avec Dieu. Et la douleur définitif surgit lors de réviser terre, à l’instant de la désillusion qui conduit l’être à ne sauter aux yeux que comme un casse. Il réalise que l’écho de l’univers est un leurre, et que l’image qui s’est fabriquée par l’attention de l’autre-monde est un rêve fédératif, une toquade. Alors, comme un cinglé se dessaisit de son mirage, il chute de son origine sélénite et abîmer dans une forme mélancolique de fin du monde. Celui qui tenait du monde n’est plus, et tout s’effondre avec lui.
L’arnaque. Le crise des vedettes. De Johnny Hallyday à la fille du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, vastes sont les personnalités qui ont eu affaire à des escrocs du genre luc Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double tarzan de l’univers de pugilat Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée des origines en Coupe du monde, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par l’intermédiaire de placements intrépide de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour à plus tard, avec 2 milliards d’euros d’emprunts ( regarder ci-contre ).
Il estime que certains scénarios «pré-établis», comme les désorganisation d’ascension sociale admirable, déclenchent une réaction impressionnable parce qu’ils sont ancrés dans nos cerveaux. Si l’on regarde les agitation de personnes célèbres, celle qui défraient le plus la légende correspondent souvent à l’une ou l’autre de ces structures de base. Prenez la soir de Charlie Sheen, par exemple : c’est la fable distinctif du «mauvais garçon» –qui se renouvelle fréquemment à la recherche de réhabilitation, sur le expansions du «Fils prodigue».
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